Les zones humides a la loupe

L’étude des zones humides a été une action phare en 2021 en étroite collaboration avec les communes qui a révélé une méconnaissance de ces parcelles.  En effet, souvent, des zones humides ignorées sont transformées en lieu de décharge ou impacté par l’urbain. Beaucoup de propriétaires de zone humides ne savent pas qu’ils en possèdent car ils ne sont pas informés.  La demande a donc été faite aux communes d’inscrire les zones humides dans les plans locaux d’urbanisme et d’informer les propriétaires sur leurs droits et leurs devoirs via une campagne de sensibilisation. Notamment à Cranves-Sales, où on compte beaucoup de zones humides. S’est posée également la question des Bois humides, en plaine avec faune associée ; salamandres, crapauds à ventre jaune comme à Vétraz-Monthoux. L’étude des zones humides offre la possibilité d’établir un plan d’actions avec les communes, pour les gérer, les restaurer, voire les rendre accessibles au public pour certaines. L’exemple de l’expérience menée sur le plateau de Loëx à Bonne est édifiante. Les principaux enjeux sur le Plateau de Loëx sont la préservation des milieux fragilisés et la réappropriation sociale du site. En effet, en plus d’abriter des milieux naturels diversifiés (tourbières, prairies humides, forêts de résineux et hêtraies) et des espèces remarquables (Chouette de Tengmalm, Tétras Lyre, Drosera à feuille ronde…), le site a également plusieurs usages productifs (pastoralisme, sylviculture…) et récréatifs (randonnée, VTT, cueillette…) qui nécessitent une meilleure cohabitation. Des panneaux pédagogiques ont été installés sur les deux communes de Bonne et d’Arthaz, et un guide d’information a été réalisé par la commune. La journée des scolaires a permis aux élèves de CM2 et aux instituteurs des deux communes de prendre toute la mesure de la diversité écologique de ce plateau. Par la sensibilisation, on permet aux habitants de mieux s’approprier leur site.

En 2022, l’étude se poursuit grâce à l’analyse hydrologique et hydromorphologique plus poussée de 8 zones. En parallèle à l’étude des zones humides, une étude sur nos espèces patrimoniales a été menée. Essentielle, elle servira à mieux comprendre les impacts des projets de l’Agglo sur l’environnement en amont, et adapter les projets à ces espèces à enjeux. Un bon exemple d’éco-exemplarité. Elle permettra par ailleurs d’identifier des zones à mieux protéger dans les plans locaux d’urbanisme des communes (Comme les alignements d’arbres par exemple), trop petits pour être identifiés dans le SCoT.

Mieux connaitre pour mieux préserver

Finalité développement durable : Préservation de la biodiversité, protection des milieux et des ressources

Comment rendre la préservation des espaces naturels possible, malgré les contraintes fortes qui pèsent toujours sur son territoire ? Dans le SCOT de l’agglomération révisé en 2021, les élus se sont engagés à aller encore plus loin.

Premier volant : la préservation durable des espaces naturels   mais aussi celle des espaces agricoles ouverts et fonctionnels, avec une affirmation et une pérennisation d’une vocation agricole de ces espaces. Le Schéma de Cohérence Territoriale (SCoT) révisé préserve 1957 ha exploités pour l’agriculture (une augmentation par rapport aux 1140 ha préservés dans le précédent SCoT à travers le zonage des PLU). Les élus se sont résolument tournés vers une gestion durable de ces espaces naturels et agricoles, et des actions opérationnelles. Le SCoT répondra à des enjeux directement liés au monde agricole : modération de la consommation des espaces naturels, agricoles et forestiers, préservation de la biodiversité.

Les espaces agricoles pérenniser répondent aux enjeux de maintien et de développement diversifié d’une agriculture durable sur le territoire. Ces espaces devront être inscrits en zone agricole dans les documents d’urbanisme, et être associés à des règles de constructibilité adaptées aux besoins de l’exploitation agricole et à l’évolution de l’habitat existant.

On notera qu’à ce stade, les prescriptions ne sont pas précises au point de fixer, par exemple, un pourcentage de surface maximum pour une extension éventuelle de bâtiment agricole. Ainsi, la mise en place d’une réflexion visant à une protection renforcée du foncier agricole sur le long terme, recommandation du SCoT, est opportune et doit être relevée.

Le rappel des cartographies précises du Document d’Orientations et d’Objectifs sur les trames environnementales, la distinction faite entre espaces naturels et espaces agricoles sont des éléments qualitatifs qui, permettent à la commission de considérer ce bilan respectueux des attentes.

Un chantier vertigineux pour le téléphérique de Salève

Finalité développement durable : Dynamique de développement selon des modes de production et de consommation responsables

Depuis fin août 2021, le téléphérique du Salève, élément phare du territoire, ne s’élève plus. Mais ce sera pour mieux repartir. La rénovation et l’extension de ses gares s’inscrit en effet dans un projet atypique et complexe. Il s’agit de rénover ce bâtiment sans dénaturer le projet initial, pensé par l’architecte Genevois Maurice Braillard en 1932, et l’ingénieur Rebuffel. Ce site est emblématique, à commencer par son histoire. Les premières expériences scientifiques d’Horace-Bénédict de Saussure eurent lieu au Salève, avant le Mont Blanc. Par ailleurs, à la fin du XIXème siècle, on y pratiqua une nouvelle discipline sportive ; la varappe, du nom des falaises.

Au sommet du Salève, l’héritage historique est donc fort pour les architectes sélectionnés ; DDA Architectes. C’est à eux que revient la mission de donner au téléphérique du Salève son nouveau visage. Gares de départ et d’arrivée réhabilitées et repensées, nouvelles offres de loisirs avec un mur d’escalade de 20m de haut encadré par un moniteur mais également un espace muséo et un jardin botanique organisés et aménagés par la Maison du Salève. Ajoutons à cette offre un belvédère unique à 360°et une salle de séminaire et le tableau est complet.

Mais il y a mieux encore. Face aux enjeux environnementaux, patrimoniaux et financiers et un projet si complexe, le GLCT, Téléphérique du Salève, propriétaire de l’équipement, a déployé une conduite de projet innovante et efficiente (programme, visite, workshop, instance de gouvernance, démarche construire propre, prototype…). La première phase a consisté à la déconstruction et au décapage des structures superficielles pour aller chercher l’ossature du bâtiment Braillard. Il faudra être patient avant de pouvoir apprécier la vue depuis le nouveau restaurant panoramique avec vue à 360°. Car le téléphérique de Salève ne découvrira son nouveau visage qu’au printemps 2023.

Annemasse Agglo lance son simulateur logement

Finalité développement durable : Épanouissement de tous les êtres humains

Pas toujours simple de trouver le logement idéal. Pour aider les habitants de l’agglomération à trouver la solution logement la plus adaptée à leurs besoins et leur faire découvrir des solutions dont ils n’ont peut-être pas connaissance, Annemasse Agglo propose un nouvel outil. Se pencher sur la thématique de l’habitat, c’est privilégier une approche par les besoins chez Annemasse Agglo et c’est bien vu. Les offres sont alors adaptées en fonction des réalités du territoire.
C’est ainsi qu’a été intégrée la règle des trois tiers dans le SCOT, schéma de cohérence territoriale : l’exigence, sur son territoire, de voir construire un tiers de logement social, un tiers de logement abordable et un tiers de logement libre. Un geste capital quand on sait les difficultés pour se loger sur l’agglomération. Les élus veulent aujourd’hui faire mieux encore, en favorisant le développement de solutions diversifiées pour répondre à une pluralité de besoins. Charge ensuite aux constructeurs de les intégrer.
C’est dans cette lignée qu’Annemasse Agglo lance son simulateur logement, permettant, après avoir renseigné trois champs (propriétaire ou non, nombre de personnes dans le foyer et revenu du foyer*), de découvrir les solutions adaptées à sa situation : logement libre, accession sociale, logement abordable… ou des solutions d’autant plus spécifiques, tel que le bail réel solidaire, par exemple. La recherche de logement pour chaque habitant est ainsi facilitée puisqu’il accède à une réponse qui lui correspond.

Accéder au rêve de la propriété à Ambilly

Finalité développement durable : Cohésion sociale et solidarité entre les territoires et les générations

Sur les 24 logements du T2 au T5 répartis sur 2 bâtiments : l’un regroupera les logements locatifs sociaux et l’autre ceux vendus en accession aidée, par le biais du Bail Réel Solidaire.

En face de la voieVerte qui mène à Genève, se dresseront bientôt Les Polyèdres de Tia, proches des écoles et des espaces verts et proposée à la vente selon des conditions bien particulières ; celles du Bail réel solidaire. Le principe : vous achetez les murs et louez le terrain à un prix attractif à un Organisme Foncier Solidaire. Ainsi, vous devenez propriétaire, plus facilement que par la voie classique, tout en bénéficiant d’un achat sécurisé par la garantie de rachat. Mais aussi de la garantie achèvement travaux et l’assurance dommages/ouvrages. Une initiative encourageante car, si le tiers logement social est déjà en cours, c’est le tiers logement abordable qui sera le plus difficile à mettre en œuvre. Néanmoins, le BRS faisant partie du tiers abordable, on voit donc que les communes tentent déjà de s’en saisir.

Intégrés dans un programme d’ensemble de 24 logements, situés à l’angle des rues des Jardins et Louis Armand, à 2km de la gare d’Annemasse, ces 12 appartements du T2 au T5 en feraient rêver plus d’un. D’architecture contemporaine conçue par De Jong, aux portes du centre-ville d’Annemasse et de ses commerces. En clair, un T3 en BRS sur ce programme est vendu 180 000€- le même sur le marché privé classique se vendrait environ 350 000€. Bref, un produit abordable pour classes moyennes.

Le terrain a été acquis par l’Etablissement Public Foncier 74 pour le compte de la commune, puis remis à SA Mont Blanc par Bail emphytéotique et Bail réel solidaire. L’opération a bénéficié notamment d’aides d’Annemasse Agglo, de l’Etat, de Régir, du Conseil Département 74, de la commune, en complément des fonds de SA Mont Blanc.

La dépollution, comment ça marche ?

Finalité développement durable : Préservation de la biodiversité, protection des milieux et des ressources

Ocybèle, usine de dépollution, assure son rôle de traitement des eaux usées (majoritairement domestiques, mais aussi commerciales et industrielles) depuis de nombreuses années. Sans ce traitement, les eaux pollueraient l’Arve, dans laquelle elles sont déversées.

Un nouveau traitement à l’azote a été mis en place dès le 6 avril, en plusieurs étapes.

1 – Les équipements sont testés, électriquement et mécaniquement ainsi que les ouvrages de génie civil afin de vérifier l’étanchéité et l’absence de malfaçons.

2 – S’ensuit une phase de mise au point, qui dure deux semaines : le traitement est mis en marche afin d’effectuer tous les réglages électriques et d’automatisme (vérification du comportement de l’installation, ajustement des régulations, etc.). L’entreprise en charge du fonctionnement de ce nouvel équipement intervient et forme les agents d’Annemasse Agglo pour l’exploitation future.

3 – Puis débute une phase de mise en régime, qui consiste en un fonctionnement normal de l’installation afin de permettre le développement bactérien dans les filtres. Ce sont en effet ces bactéries qui consommeront la pollution azotée. Pendant cette période, qui durera au minimum un mois, des tests de qualité de l’eau pour être effectués régulièrement afin d’évaluer la performance épuratoire et optimiser les réglages.

4 – Enfin, se déroule une phase d’observation, d’une durée d’un mois (s’il n’y a pas d’incident), qui consiste à vérifier que l’installation de traitement est stable et fonctionne correctement.

Comme le traitement des boues actuel deviendra insuffisant à l’avenir du fait de l’accroissement de la population et du volume de boues d’épuration supplémentaire généré par le traitement de l’azote, il est également prévu une mise à niveau de la filière de traitement des boues qui comprend notamment la création d’un nouveau bâtiment de déshydratation, l’amélioration des digesteurs et la création d’une nouvelle chaufferie.

L’usine va donc connaître un agrandissement majeur d’ici à 2025 avec la construction de plusieurs bâtiments : un pour le traitement de l’azote et 3 pour les boues qui vont notamment nécessiter un agrandissement de l’emprise du site.

Tisser du lien via la culture : Annemasse Agglo donne le ton

Finalité développement durable : Épanouissement de tous les êtres humains

Marqué par une grande disparité de revenus et de situations sur le territoire, Annemasse Agglo a fait, depuis 2014 de la culture, un vecteur de cohésion sociale. Et c’est par le biais du Conservatoire que le souhait de rendre la culture accessible au plus grand nombre s’est incarné en 2021. Sur la base d’un projet pédagogique commun qui s’incarne dans un enseignement homogène sur l’ensemble du territoire, l’offre d’enseignement musicale est désormais présente sur 7 sites avec des tarifs identiques. Le Conservatoire conserve ainsi une véritable proximité géographique pour ce service et maintient un lien avec les usagers des communes qui fréquentaient préalablement les écoles de musiques associatives.

7 sites via lesquelsl’usager peut développer son apprentissage ; Annemasse, Bonne, Cranves-Sales, Gaillard, Machilly, Ville-la-Grand et Vétraz-Monthoux.Des cours identiques s’y déclinent pour favoriser la proximité, une homogénéité doublée d’une accessibilité en termes de tarifs. Ceci grâce à la mise en place d’une politique tarifaire basée sur le quotient familial et une ouverture à tous les publics ; enfants, ados, adultes et personnes en situation de handicap. Pour exemple, les jeunes dont les familles présentent un quotient familial inférieur à 700 euros peuvent pratiquer le solfège et un instrument pour 12,60 euros par mois. A partir de 7 ans.

L’objectif, par ailleurs, est de permettre, via un enseignement centré sur les pratiques collectives, un brassage entre les enfants. D’autant que le Conservatoire est ouvert à toutes les esthétiques musicales. Une mixité qui se fera naturellement via le regroupement de cours par exemple, ou via des évènements regroupant un seul département, comme les week-ends percussion.  A cela s’ajoutent des partenariats avec l’Education nationale, la villa du parc avec des visites d’expo sur fond de musique. Des collaborations avec Château Rouge sont également au programme.

Répondre aux besoins des populations les plus fragiles en hiver

Finalité développement durable : Épanouissement de tous les êtres humains

2021 a vu, au sein de la Maison des Solidarités, la poursuite du déploiement du Plan d’Urgence Hivernaledébuté le 1er novembre 2020. Objectif : la mise en œuvre de places d’hébergement d’urgence complémentaires aux structures présentes sur le territoire. Cet accueil s’est fait pour deux publics : les adultes isolés et les familles avec un volet accompagnement social pour les deux. Ceci dans une approche globale de la situation de l’individu avec un accompagnement dans certains cas vers une solution d’hébergement stabilisée ou de logement.

La part des femmes a baissé ; elles représentaient 29% des personnes hébergées pendant l’hiver 2019-2020 ; elles étaient 23% en 2021. Par ailleurs, 68% des hommes accueillis et 33% des femmes sont suivis par les travailleurs sociaux de l’Accueil de jour. Difficile de stabiliser cette population ; 67% des personnes sont restées moins d’un mois et seulement trois personnes ont bénéficié du dispositif dans son entier. Pour beaucoup, il est impossible de connaitre la raison du départ de l’abri. Parmi elles, 8% des hommes et 11% des femmes ont trouvé un logement privé. La même proportion de femmes a trouvé un logement social contre 6% des hommes.

L’Echo de l’éco pour prendre le pouls des entreprises

Née de la volonté d’Annemasse Agglo d’observer, sur le long terme, l’évolution de la conjoncture sur le territoire et au-delà et d’identifier les enjeux pour mieux les anticiper, la lettre l’Echo de l’éco est sorti en juin 2021.

Un nouveau rendez-vous trimestriel, 100% conjoncture économique ; c’est ce que propose la newsletter L’Echo de l’éco. Un média qui permet d’avoir une photographie à l’instant T de la situation économique locale, départementale et régionale (enquête auprès d’un panel de 325 entreprises du territoire, de tous secteurs et toutes tailles – en partenariat avec la CCI et la CMA). C’est un support idéal pour puiser de l’information locale dans la rubrique La tectonique des entreprises d’Annemasse Agglo mais aussi consulter l’enquête de conjoncture. 325 entreprises d’Annemasse Agglo actives dans les secteurs du BTP, CHR, industrie, services et commerce ont accepté de répondre à l’enquête trimestrielle administrée par la CCI et la CMA Haute-Savoie. Disponible également, un monitoring de l’entrepreneuriat avec des chiffres clés et l’Observatoire de l’hôtellerie locale.

Dans cette lettre, on peut également puiser de l’information départementale voire régionale ou nationale avec L’écho des partenaires. Aux commandes du comité de rédaction : la Maison de l’Economie Développement qui compte plus de 10 partenaires contributeurs. Autre objectif ; créer du lien entre les acteurs économiques afin de constituer une base commune et un réseautage entre élus, techniciens et acteurs de l’économie du territoire.

Par ailleurs, des rendez-vous matinaux, Parlons Eco, ont été organisés à l’attention de l’ensemble des élus et des acteurs économiques du territoire avec pour objectifs de partager une culture économique commune et se pencher sur les enjeux d’actualité ayant un impact sur le développement économique. La première rencontre organisée le 10 novembre 2021 a été une belle réussite. Portant sur le thème : Approvisionnement en matières 1ères, recrutement, notre territoire peut-il rester productif, ce premier temps d’échange a réuni plus de 70 personnes (élus, entreprises, institutionnels).

Pour une réorganisation cohérente de la zone d’activité économique

Finalité développement durable : Dynamique de développement selon des modes de production et de consommation responsables

L’instauration d’un périmètre d’attente de projet d’aménagement global, PAPAG, approuvé sur Annemasse et Ville-la-Grand à l’été 2021, s’avère nécessaire pour répondre aux objectifs suivants : afficher clairement une volonté de réorganisation de la zone et disposer de temps pour définir un projet de réaménagement global d’un secteur de la zone d’activité économique comprenant des parcelles ou friches potentiellement mutables à court terme. Il s’agit également d’éviter des implantations ou extensions au coup par coup. Ces dernières sont en effet susceptibles de compromettre une réorganisation cohérente et optimisée du secteur. En particulier sur les parcelles où le zonage des PLU autorise le commerce, de travailler conjointement à la mise en place d’une ou plusieurs opération(s) d’aménagement et de programmation (OAP) dans les deux PLU de Ville-la-Grand et d’Annemasse, et enfin, de pouvoir maîtriser le foncier en anticipant néanmoins la contrainte financière qui pèsera sur les collectivités. Devant cet impérieux besoin d’aménagement économique et commercial des zones d’activités, ce PAPAG a donc été gelé pour cinq ans au plus dans l’attente de définir les orientations et avec la volonté de cesser de subir les velléités dues à un zonage non adapté. Tous les acteurs sont dorénavant mis autour de la table pour concilier orientations politiques et attentes des entreprises, les élus souhaitant établir un zonage qui permette notamment l’implantation d’entreprises productives.