Préserver la nature, nos ressources et les espaces agricoles

Aujourd’hui, l'Agglo s’engage plus que jamais pour préserver les espaces naturels et agricoles et redonner toute sa place à la biodiversité. Comment concilier aménagement du territoire et préservation de l’environnement. Quels sont les grands défis, par ailleurs, à relever en matière de traitement des eaux, de réduction des déchets ? Et ce malgré les contraintes fortes qui pèsent toujours sur son territoire ?

Traitement des eaux : l’azote a la rescousse

14 millions pour protéger l’environnement. C’est le coût du nouveau bâtiment qui rend, depuis l’été 2021, le traitement des eaux par l’azote possible sur l’usine de dépollution des eaux usées d’Annemasse Agglo, Ocybèle, à Gaillard. Il permettra de préserver davantage l’environnement, via des eaux toujours plus propres.
14 M€ de travaux
pour le traitement de l’azote

Intégrer l’environnement dans l’aménagement des territoires

Annemasse Agglo franchit une nouvelle étape en matière de transition écologique avec l’ouverture, en 2021, d’un poste dédié à la séquence Eviter, Réduire, Compenser, au sein du service Environnement. Explications
+ 60% de déchets recyclables
triés visés pour 2030

Collecte de déchets : 10 ans pour agir

Orienter nos modes de production et de consommation de façon durable en réduisant la production de déchets est un enjeu capital pour Annemasse Agglo qui travaille sans relâche pour améliorer la collecte des déchets des ménages.
- 12% de déchets
(déchetterie, OM, tri) en kg/an/hab. visés pour 2030

Faits
marquants

Mieux connaitre pour mieux préserver

Finalité développement durable : Préservation de la biodiversité, protection des milieux et des ressources

Comment rendre la préservation des espaces naturels possible, malgré les contraintes fortes qui pèsent toujours sur son territoire ? Dans le SCOT de l’agglomération révisé en 2021, les élus se sont engagés à aller encore plus loin.

Premier volant : la préservation durable des espaces naturels   mais aussi celle des espaces agricoles ouverts et fonctionnels, avec une affirmation et une pérennisation d’une vocation agricole de ces espaces. Le Schéma de Cohérence Territoriale (SCoT) révisé préserve 1957 ha exploités pour l’agriculture (une augmentation par rapport aux 1140 ha préservés dans le précédent SCoT à travers le zonage des PLU). Les élus se sont résolument tournés vers une gestion durable de ces espaces naturels et agricoles, et des actions opérationnelles. Le SCoT répondra à des enjeux directement liés au monde agricole : modération de la consommation des espaces naturels, agricoles et forestiers, préservation de la biodiversité.

Les espaces agricoles pérenniser répondent aux enjeux de maintien et de développement diversifié d’une agriculture durable sur le territoire. Ces espaces devront être inscrits en zone agricole dans les documents d’urbanisme, et être associés à des règles de constructibilité adaptées aux besoins de l’exploitation agricole et à l’évolution de l’habitat existant.

On notera qu’à ce stade, les prescriptions ne sont pas précises au point de fixer, par exemple, un pourcentage de surface maximum pour une extension éventuelle de bâtiment agricole. Ainsi, la mise en place d’une réflexion visant à une protection renforcée du foncier agricole sur le long terme, recommandation du SCoT, est opportune et doit être relevée.

Le rappel des cartographies précises du Document d’Orientations et d’Objectifs sur les trames environnementales, la distinction faite entre espaces naturels et espaces agricoles sont des éléments qualitatifs qui, permettent à la commission de considérer ce bilan respectueux des attentes.

Les zones humides a la loupe

L’étude des zones humides a été une action phare en 2021 en étroite collaboration avec les communes qui a révélé une méconnaissance de ces parcelles.  En effet, souvent, des zones humides ignorées sont transformées en lieu de décharge ou impacté par l’urbain. Beaucoup de propriétaires de zone humides ne savent pas qu’ils en possèdent car ils ne sont pas informés.  La demande a donc été faite aux communes d’inscrire les zones humides dans les plans locaux d’urbanisme et d’informer les propriétaires sur leurs droits et leurs devoirs via une campagne de sensibilisation. Notamment à Cranves-Sales, où on compte beaucoup de zones humides. S’est posée également la question des Bois humides, en plaine avec faune associée ; salamandres, crapauds à ventre jaune comme à Vétraz-Monthoux. L’étude des zones humides offre la possibilité d’établir un plan d’actions avec les communes, pour les gérer, les restaurer, voire les rendre accessibles au public pour certaines. L’exemple de l’expérience menée sur le plateau de Loëx à Bonne est édifiante. Les principaux enjeux sur le Plateau de Loëx sont la préservation des milieux fragilisés et la réappropriation sociale du site. En effet, en plus d’abriter des milieux naturels diversifiés (tourbières, prairies humides, forêts de résineux et hêtraies) et des espèces remarquables (Chouette de Tengmalm, Tétras Lyre, Drosera à feuille ronde…), le site a également plusieurs usages productifs (pastoralisme, sylviculture…) et récréatifs (randonnée, VTT, cueillette…) qui nécessitent une meilleure cohabitation. Des panneaux pédagogiques ont été installés sur les deux communes de Bonne et d’Arthaz, et un guide d’information a été réalisé par la commune. La journée des scolaires a permis aux élèves de CM2 et aux instituteurs des deux communes de prendre toute la mesure de la diversité écologique de ce plateau. Par la sensibilisation, on permet aux habitants de mieux s’approprier leur site.

En 2022, l’étude se poursuit grâce à l’analyse hydrologique et hydromorphologique plus poussée de 8 zones. En parallèle à l’étude des zones humides, une étude sur nos espèces patrimoniales a été menée. Essentielle, elle servira à mieux comprendre les impacts des projets de l’Agglo sur l’environnement en amont, et adapter les projets à ces espèces à enjeux. Un bon exemple d’éco-exemplarité. Elle permettra par ailleurs d’identifier des zones à mieux protéger dans les plans locaux d’urbanisme des communes (Comme les alignements d’arbres par exemple), trop petits pour être identifiés dans le SCoT.

46 hectares
de zones humides (hors SAGE)

La pédagogie pour sensibiliser aux espaces a protéger

Finalité développement durable : Préservation de la biodiversité, protection des milieux et des ressources

Suite à la création d’un schéma de randonnée par Annemasse Agglo, les chemins ont été répertoriés et classés dans les 10 communes de l’Agglo. Sur la commune de Bonne, la boucle de promenade du plateau de Loëx ainsi que le GR des Balcons du Léman traversant le plateau sur l’itinéraire entre le Salève et les Voirons ont été balisés. Ces panneaux d’information financés par le Conseil départemental orientent les promeneurs sur les prochaines étapes du parcours et la durée de marche moyenne estimée. Véritables outils de découverte sur le Plateau de Loëx, les quatre panneaux pédagogiques ont été installés fin juin, respectivement à Loëx et à Arthaz-Pont-Notre-Dame. Ils ont pour mission de valoriser le patrimoine paysager du plateau et informent les promeneurs sur la faune et la flore présente, ainsi que sur les règles de conduite à respecter dans un Espace Naturel Sensible. Réalisés en interne par le service communication de la commune, et en s’appuyant sur l’étude rédigée en 2017 conjointement par l’ONF, FNE, Paysalp, Asters et Avis-Vert, les panneaux ont été fabriqués et posés par la société Picbois installée dans l’Ain. Cette signalétique a été co-financée par le Département et les communes de Bonne et d’Arthaz Pont-Notre-Dame. Deux autres panneaux plus spécifiques informant sur la faune et la flore locale seront installés dans les bois de Covées durant l’été. Aussi, crapauds sonneurs à ventre jaune, barbastelles d’Europe et autres espèces protégées n’auront plus de secret pour personne.

Contrer les espèces exotiques envahissantes faune et flore

Finalité développement durable : Préservation de la biodiversité, protection des milieux et des ressources

Territoire touché comme beaucoup d’autres par l’expansion des espèces exotiques envahissantes, Annemasse Agglo a entrepris de former et sensibiliser l’ensemble des agents des services espaces verts des communes sur les espèces exotiques envahissantes. Objectif : installer un réseau d’acteurs sentinelle local.

La dynamique très active du renouvellement urbain et de l’aménagement du territoire a par ailleurs facilité leur expansion par les mouvements de terre et le trafic routier des axes transrégionaux traversant le territoire. Différentes espèces sont apparues avec notamment la renouée du Japon en bord de cours d’eau, l’ambroisie, la berce de Caucase, l’arbre à papillon ou encore le solidage. Des espèces animales ont également été recensées et sont suivies, comme par exemple la chenille processionnaire ou le moustique tigre. Ces espèces sont mal connues du grand public et surtout des professionnels pouvant y être confrontés : suivi de chantier, entretien des espaces verts, entretien des abords de voirie, … Ces acteurs du terrain sont nombreux et devraient au minimum savoir reconnaître ces espèces afin de ne pas participer à leur propagation par de mauvaises méthodes d’entretien. Les acteurs concernés sont pour une partie importante employés dans les collectivités aux services espaces verts et voirie, et suivent de près ou de loin l’ensemble des chantiers en cours sur le territoire. Ils doivent donc impérativement savoir reconnaître ces espèces pour ensuite engager les actions correctives ou de suivi nécessaires et adaptées. En plus d’une volonté de limitation de leur propagation au sein de l’agglo, il y a souvent un objectif de santé publique et santé des agents. La volonté de travailler sur le moustique tigre par la suite a été énoncée.

Concilier aménagement et préservation des espèces protégées : l’exemple du P+R Altéa à Cranves-Sales :

Finalité développement durable : Préservation de la biodiversité, protection des milieux et des ressources

En amont de l’aménagement du parking relais Altéa de Cranves-Sales et des mesures environnementales sur chantier, des suivis écologiques ont été effectués permettant ainsi de contrôler l’impact du projet sur la faune, voire son maintien sur site.

On connait les avantages du parking relais en matière de captation du flux de trafic. Ainsi l’aménagement du P+R Chasseurs à Cranves-Sales permet de concentrer une partie de flux de trafic venant de l’est et à destination du centre d’Annemasse aux heures de pointe. Ce P+R permet également d’offrir des transports concurrentiels à la voiture individuelle pour les déplacements vers Genève. Pour aller plus loin, en matière de développement durable, des mesures environnementales ont été menées sur chantier ainsi que des suivis écologiques.

Entre janvier et juin, oiseaux hivernants, amphibiens et oiseaux nocturnes, faune diurne ont été étudiés. Grenouille agile, rousse, triton palmé et salamandre tachetée pour les amphibiens, lézard des murailles, couleuvre verte et jaune, et orvet fragile côté reptiles, sanglier, chevreuil européen et écureuil roux pour les mammifères ; l’objectif des suivis est de vérifier que les espèces contactées lors de l’état initial réalisé en 2014 continuent à fréquenter les boisements et autres habitats du secteur, dans le but d’adapter les mesures compensatoires ou les aménagements spécifiques en fonction des conclusions des suivis à long terme (20 ans).

De manière générale, les peuplements entre 2014, 2019 et 2021 sont assez proches pour la plupart des groupes étudiés. Il ne manque que peu d’espèces entre l’état initial et les observations de 2021. Certaines espèces difficiles à contacter (couleuvre d’Esculape, épervier ou gros-bec cassenoyaux) pourraient toujours être présentes mais de façon marginale ou nécessitant une pression d’observation plus importante pour améliorer les chances de les détecter. Concernant l’écureuil roux, une attention particulière à la présence de nids lors du passage hivernal pourrait permettre d’affiner les connaissances sur son maintien sur le boisement du site aménagé. A contrario, on peut relever la présence d’espèces non connues à l’état initial ou en 2019 : la salamandre tachetée (Salamandrasalamandra), la couleuvre verte et jaune (Hierophisviridiflavus). Les prochaines années de suivis devraient permettre d’affiner l’analyse pour les espèces absentes et la constitution des peuplements des différents groupes étudiés, mais également de vérifier la faible érosion des espèces d’oiseaux présentes.

La zone humide n’empêchera pas la construction du collège de Vetraz-Monthoux

Finalité développement durable : Préservation de la biodiversité, protection des milieux et des ressources

Si le site choisi reste le meilleur choix, le long de la route de Taninges en limite de Cranves-Sales, les complications environnementales sont néanmoins bien réelles. Des mesures ont donc été prises pour préserver l’environnement de l’établissement dont l’ouverture est prévue à la rentrée 2025.

C’est fait. Les élus communautaires ont voté en 2021 pour le dépôt de dossier de déclaration d’utilité publique concernant la construction d’un collège à Vétraz-Monthoux. Non sans débat sur l’emplacement, en raison de la présence d’une zone humide dans le secteur. C’est pourquoi Annemasse Agglo a voté les mesures de préservation de l’environnement compensant la construction d’un collège à Vétraz-Monthoux.  Le conseil communautaire s’est ensuite prononcé sur les mesures compensatoires à mettre en œuvre pour préserver l’environnement de l’établissement dont l’ouverture est prévue à la rentrée 2025. Trouver des terrains pour des édifices publics est un vrai casse-tête dans cette agglomération, et les élus avaient cru choisir l’emplacement idéal en retenant le lieu-dit “Le Pré du Nant” en 2017. La présence d’une zone humide et d’espèces rares protégées, exige un vrai plan de bataille, pour être en conformité avec l’enjeu de préservation de l’environnement.

Le site du projet est composé d’une mosaïque d’espaces naturels : des milieux prairiaux représentés en grande partie par de la prairie de fauche, des haies, des milieux ouverts, humides, des fourrés. Et… une large partie du site est classée en zone humide. Une étude a été établie en septembre 2021 ; après application des mesures d’évitement, 3,25 hectares restent impactés. Annemasse Agglo et le Département de Haute-Savoie se sont donc engagées à mettre en œuvre l’ensemble des mesures ERC. Il s’agira de gérer les eaux pluviales sur site de manière préférentielle et de construire un bâtiment exemplaire à vocation pédagogique. Par ailleurs, le futur gymnase se présente comme une construction modèle en termes d’efficacité énergétique et à faible empreinte carbone avec un parking associé mutualisé entre le gymnase et le collège. La Géline longe le chemin des Fontaines au Nord, et un fossé au sud de cette même voie traverse également le site. Aux abords immédiats du site, le secteur du Bas-Monthoux est assez diversifié : zone artisanale et économique et habitations individuelles principalement. Au Nord du site, l’aérodrome d’Annemasse est en bordure immédiate, ainsi que le Bois de Rosses.

700 élèves attendus
(extensible à 800)

La renaturation de Chènevières

Finalité développement durable : Préservation de la biodiversité, protection des milieux et des ressources

2021 a été une année d’aboutissement de la procédure d’autorisation environnementale permettant l’extension de l’UDEP, la renaturation de Chenevières et la création du traitement de micro polluants. Une vraie plus-value écologique.

Dans le cadre du projet de travaux d’extension* et de remise à niveau de l’usine de dépollution des eaux usées Ocybèle à Gaillard, les travaux vont nécessiter une extension de l’emprise du site. Cette extension ne pouvant se faire que sur une zone de boisement, Annemasse Agglo a mis en œuvre une démarche visant à éviter les impacts négatifs, les réduire ou à défaut les compenser.

Le site de l’ancien captage a été retenu pour cette dernière démarche. Ce site est particulièrement adapté du fait de son implantation, à moins de 500m de l’Usine de DEPollution des eaux usées (UDEP) et au cœur d’une zone protégée. Les travaux vont comprendre la déconstruction des bâtiments, la suppression des surfaces imperméabilisées, le remodelage des terrains et la plantation d’espèces végétales locales. Une mesure de compensation hydraulique sera aussi réalisée de façon concomitante avec la mesure d’accompagnement écologique.

La renaturation du captage de Chenevières permettra de recréer sur cette zone un boisement humide (chênaie méso-hygrophile) en continuité du boisement existant et d’accueillir des espèces locales de faune et de flore.

Dans l’objectif de penser l’aménagement à une échelle plus globale, en partenariat avec les acteurs locaux et d’orienter toutes les actions de restauration/accompagnement dans une même direction, Annemasse Agglo a souhaité se coordonner avec le SM3A qui réalise les travaux de renaturation du Foron à proximité.

Ces travaux vont permettre de ne pas entraîner de perte de biodiversité pour le projet de l’UDEP, de recréer les fonctionnalités écologiques du site et améliorer plus largement le rôle du boisement pour l’accueil de biodiversité et comme corridor biologique d’importance (SRCE) des bords d’Arve (refuge et habitat pour la faune terrestre et l’avifaune, corridor rivulaire pour de nombreuses espèces).

*Aujourd’hui, la place disponible sur l’emprise actuelle de l’UDEP (Usine de DEPollution des eaux usées) ne permet pas la création des nouveaux ouvrages et nécessite une extension de l’empreinte du site.

Pourquoi le site de Chenevières ?

Le site de l’ancien captage de Chenevières parait être la parcelle la plus appropriée, qui présente de nombreux avantages notamment de mutualiser les formes de compensation – hydraulique et naturelle – de se situer à proximité du site impacté donc ayant les mêmes caractéristiques principales (géologie, hydrogéologie, cohérence biogéographique …)

Un projet lumière pour l’eco-quartier

Finalité développement durable : Préservation de la biodiversité, protection des milieux et des ressources

Les places de l’Ecole, de la Gare et de la Rotonde pourraient bénéficier d’ambiances lumineuses colorées et généreuses. Afin de répondre au plus proche des besoins des habitants, les lumières émanant des architectures seraient ainsi principalement destinées à éclairer l’espace public connexe. Aux pieds de bâtiments et des latéralités, les ambiances lumineuses s’adapteraient d’elles-mêmes aux usagers. Au cœur de la nuit, quand le quartier dormira, l’éclairage adopterait un état de veille, et les intensités lumineuses augmenteraient au passage des piétons ou des véhicules.

Les passerelles seraient, quant à elles, des traits d’union lumineux apparaissant au-dessus de la voie ferrée. Alors que leurs sous-faces bénéficieraient d’un traitement coloré, signifiant leur identité et leur présence dans le tissu urbain, les tabliers seraient, quant à eux, éclairés de manière plus douce afin de pouvoir observer le paysage nocturne créé sur le jardin ferroviaire et ses abords. Dernier espace public majeur du quartier : le jardin ferroviaire, dont la frange bâtie bénéficierait également en début de soirée de l’éclairage des pieds de bâtiments. L’éclairage de ce ruban serait accompagné par celui des micro-évènements lumineux. La mise en lumière du cœur du jardin suit la déambulation, tels les méandres de l’Arve. Tantôt les cheminements seront éclairés, tantôt c’est la végétation. Un volume lumineux se dessinerait alors dans l’espace. Le jardin accueillerait en début de soirée les flux de la ville, liés à la gare et aux activités du quartier, tandis qu’en fin de soirée, il deviendrait le jardin de tout le monde, caractéristique des flux domestiques. Ces principes sont actuellement réfléchis en cohérence avec les éclairages des lots privés pour assurer la réduction des puissances nécessaires (immeubles et rez-de-chaussée actifs) et en adéquation avec les enjeux de biodiversité (label BiodivercityReady garantissant la prise en compte de la trame noire).