Préserver et cultiver, c’est possible
Finalité développement durable : Préservation de la biodiversité, protection des milieux et des ressources
Accompagner les agriculteurs vers un modèle plus durable, respectueux de l’environnement et en même temps, économiquement solide, c’est possible. En 2021, a été lancée une étude sur les friches agricoles afin d’étudier les possibilités de les réutiliser pour l’agriculture locale. Ceci en parallèle à une activité de vente directe ou en circuit court (étude de marché, stratégie commerciale) mise en place pour trois porteurs de projets.
Mieux connaitre pour mieux préserver
Finalité développement durable : Préservation de la biodiversité, protection des milieux et des ressources
Comment rendre la préservation des espaces naturels possible, malgré les contraintes fortes qui pèsent toujours sur son territoire ? Dans le SCOT de l’agglomération révisé en 2021, les élus se sont engagés à aller encore plus loin.
Premier volant : la préservation durable des espaces naturels mais aussi celle des espaces agricoles ouverts et fonctionnels, avec une affirmation et une pérennisation d’une vocation agricole de ces espaces. Le Schéma de Cohérence Territoriale (SCoT) révisé préserve 1957 ha exploités pour l’agriculture (une augmentation par rapport aux 1140 ha préservés dans le précédent SCoT à travers le zonage des PLU). Les élus se sont résolument tournés vers une gestion durable de ces espaces naturels et agricoles, et des actions opérationnelles. Le SCoT répondra à des enjeux directement liés au monde agricole : modération de la consommation des espaces naturels, agricoles et forestiers, préservation de la biodiversité.
Les espaces agricoles pérenniser répondent aux enjeux de maintien et de développement diversifié d’une agriculture durable sur le territoire. Ces espaces devront être inscrits en zone agricole dans les documents d’urbanisme, et être associés à des règles de constructibilité adaptées aux besoins de l’exploitation agricole et à l’évolution de l’habitat existant.
On notera qu’à ce stade, les prescriptions ne sont pas précises au point de fixer, par exemple, un pourcentage de surface maximum pour une extension éventuelle de bâtiment agricole. Ainsi, la mise en place d’une réflexion visant à une protection renforcée du foncier agricole sur le long terme, recommandation du SCoT, est opportune et doit être relevée.
Le rappel des cartographies précises du Document d’Orientations et d’Objectifs sur les trames environnementales, la distinction faite entre espaces naturels et espaces agricoles sont des éléments qualitatifs qui, permettent à la commission de considérer ce bilan respectueux des attentes.