Quand la musique rayonne !

Finalité développement durable : épanouissement de tous les êtres humains

Depuis le 1er septembre 2020, le conservatoire de musique reconnu d’intérêt communautaire, dépend désormais d’Annemasse Agglo. Objectif : étendre le rayonnement du conservatoire à toute l’agglomération d’Annemasse et permettre la mise en œuvre d’une politique globale et cohérente de l’offre musicale au sein de l’agglomération.

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Les relations ONG/Entreprises au beau fixe

Finalité développement durable : cohésion sociale et solidarité entre les territoires et les générations

Faciliter les partenariats entre entreprises et ONG, c’est le challenge que relève avec brio la Cité de la Solidarité Internationale (CSI), initiée par Annemasse Agglo. Le lancement de l’incubateur CoExist, le 6 février 2020, a mis en lumière la nécessité d’une identification et d’une sélection des différents acteurs, leur mise en relation et enfin, la valorisation de leurs actions communes

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Une seconde vie pour la maison Michel Butor

Finalité développement durable : épanouissement de tous les êtres humains

Riche d’un fonds de 740 livres d’artistes issus de la bibliothèque de l’écrivain, la maison de Michel Butor datant de la fin 19e et acquise par l’auteur en 1989 à Lucinges, méritait une réhabilitation digne de ce nom. Une rénovation simple et minimale car il s’agissait de respecter et conserver l’esprit du lieu. Que l’on a dédié à la création.

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Pistes cyclables : où sont les femmes ?

Finalité développement durable : épanouissement de tous les êtres humains

En 2020, plus que jamais, le vélo est apparu comme le moyen de transport urbain idéal. La voieVerte participe ainsi au report modal, enjeu très important sur le territoire d’Annemasse-Agglo qui fait face à une croissance de la population et, par corollaire, une croissance du nombre de déplacement.

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Démocratiser l’accès à l’art et à l’excellence

Finalité développement durable : épanouissement de tous les êtres humains

L’Ecole des Beaux-Arts du Genevois EBAG a obtenu le renouvellement de l’agrément pour sa classe prépa pour 5 ans. Un évènement bienvenu dans la tourmente de cette année à nulle autre pareille.

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A la rescousse de l’agriculture locale

Finalité développement durable : dynamique de développement suivant des modes de production et de consommation responsables

Dans le vaste dispositif d’aide de soutien aux entreprises, l’agriculture locale n’a pas été oubliée. C’est via une carte permettant d’un seul coup d’œil d’identifier les différentes fermes et enseignes proposant des produits locaux qu’Annemasse Agglo a organisé un véritable relais d’information. Les marchés de producteurs représentant un enjeu important, par exemple sur Annemasse, 10 producteurs locaux de fruits, légumes, fromages, œufs… ont pu proposer leurs produits aux quelque 500 clients par semaine.

Annemasse Agglo a enfin décidé de participer à hauteur de 45 000 € à l’opération de don de lait et fromages savoyards, lancée par l’Interprofession laitière de Savoie, à destination des collectivités, pour être en mesure d’approvisionner les banques alimentaires dont le lait et le fromage font défaut : une action permettant de soutenir les éleveurs du territoire tout en aidant les plus démunis.

Les start-ups ouvrent leurs portes aux jeunes

Finalité développement durable : dynamique de développement suivant des modes de production et de consommation responsables

Faire se rencontrer entrepreneurs et jeunes (-25 ans) est un enjeu capital afin de permettre la création de liens entre les acteurs du développement économique et la jeune pousse. Tel était l’objectif de la deuxième édition de Créa en Scène, le jeudi 15 octobre 2020, au Cortex Virtual, à Annemasse. Un événement organisé par le CitésLab de l’agglomération annemassienne, structure d’aide à la création d’entreprise ciblant les publics sociaux.

L’idée était d’impliquer l’ensemble des acteurs économiques afin de permettre un maillage fort entre des acteurs actuels et futurs du développement économique local (start-up, TPE, PME, grands comptes) et les jeunes de moins de 25 ans issus des quartiers prioritaires. Mais aussi les lycéens des établissements pros et techniques du bassin, les jeunes suivis par les structures d’insertion (Mission Locale, Point information jeunesse/ agglomération annemassienne) et les citoyens

Le but visé est aussi de mettre en avant l’importance auprès des jeunes, du savoir-être dans le monde de l’entreprise et permettre aux entreprises de s’adapter à la nouvelle génération et à ses codes. On était visiblement à l’heure anglo-saxonne puisque lors de l’événement, les jeunes ont été invités à intégrer « de vrais Start-up team » sous la houlette d’un « start-uppeur ».

Le digital au service des partenariats économiques

Finalité développement durable : dynamique de développement suivant des modes de production et de consommation responsables

La Cité de la Solidarité Internationale permet aux entreprises et aux ONG de se connecter aux partenaires clés susceptibles de faciliter le développement de leur projet via les différents sites de ses partenaires. En 2020, le digital s’est affirmé davantage notamment avec la participation, en virtuel, à une rencontre organisée avec une quinzaine d’entreprises qui ont présenté, via un webinaire, leurs innovations technologiques.

Par ailleurs, plus de 200 rendez-vous B to B se sont tenus en ligne entre entreprises et ONG. Une occasion unique de déconstruire les idées reçues et les a-priori que ces structures peuvent nourrir les unes envers les autres. La CSI agit alors comme un facilitateur dans la mise en réseau. L’organisme procédant par ailleurs à une sélection des acteurs qu’elle met en présence, la mise en confiance est facilitée.  Cette digitalisation de l’action a démultiplié les audiences de la CSI, notamment via les Zoom métiers avec des séances d’information sur les métiers de l’humanitaire et de la solidarité internationale.  Qui par exemple, connait le métier de coordonnateur de projet à Médecins sans frontières ?

S’adapter, réagir, réinventer… pour que la culture vive

Finalité développement durable : épanouissement de tous les êtres humains

Les fermetures des établissements imposées pendant le premier confinement ont modifié le rapport que les publics entretiennent avec les bibliothèques. Les impératifs du déconfinement, notamment la mise en œuvre du protocole national – limite du nombre de visiteur pour préserver les distances de sécurité, quarantaine des documents (10 puis 3 jours) lors de leur retour, rassemblements limités – n’ont pas rendu plus simple l’accès à la lecture, activités culturelles et autres services.

Des initiatives ont été mises en place dans l’urgence pour accompagner au mieux ces publics et ne pas rompre brutalement le lien entre établissement, population et territoire, notamment des communications régulières à chaque changement de phase et protocole, animations en visio ou filmées. Vers la fin du premier confinement, la bibliothèque de Cranves-Sales a pu organiser la livraison de livres aux personnes fragiles via le dispositif déjà en place pour celle des repas.

Par ailleurs, la réservation de créneaux pour le Prêt à emporter a été adapté à La Bulle, Annemasse pour des résidents peu enclins à l’usage du numérique. Enfin, les règles de fonctionnement du réseau ont été modifiées – suspension des avis de retard et blocages de cartes, extension de la limite des réservations de 5 à 15 documents – de mai 2020 à avril 2021 pour pallier aux restrictions d’accès. Une fois la réouverture des portes en mode dégradé possible, la Bimag à Ambilly a instauré des sessions spécifiques sur rendez-vous pour les personnes souhaitant utiliser les ordinateurs.

Le petit plus :
La navette inter bibliothèques est un service délivré par Trait d’Union, une structure d’insertion par l’activité économique.

Maintenir le lien entre les usagers et la lecture

Finalité développement durable : épanouissement de tous les êtres humains

Dans la tête de tous les acteurs du jeune réseau Intermède, persiste le souvenir d’un « démarrage fabuleux » en début d’année avant une perte de vitesse… inévitable suite à la crise sanitaire. Malgré la belle dynamique de départ, il a fallu dans un premier temps s’adapter tout en voyant se réduire le périmètre d’action. Il faut d’ailleurs ici souligner la capacité d’adaptation des équipes face aux annonces du jeudi à mettre en place le week-end.Les bibliothèques ont fermé en réponse à l’appel à confinement dès le 17 mars (quelques jours plus tôt pour certaines). Suite au premier confinement, les bibliothèques ont rouvert graduellement, à partir du 13 mai, initialement via l’offre d’un service de prêt à emporter/clic et collect puis en mode « dégradé » à partir de juin. Ce qui a permis au public de pénétrer à nouveau dans les locaux dans le respect des dispositions sanitaires. Des protocoles indispensables qui ont modifié les modalités de fréquentation et d’emprunt. Le service de navette a quant à lui repris le 25 mai.

Lors du second confinement, les bibliothèques ont pu rester ouvertes pour le prêt à emporter avec un retour en mode dégradé à partir du 28 novembre mais les animations en présentiel sont restées très limitées avec une jauge de six personnes. Beaucoup ont dû être annulées, dont celles consacrées au film documentaire en novembre.